Pendant cette pandémie, il n’y a pas un meilleur temps afin de dialoguer au sujet du fameux plan de « réinitialisation » émis par Marc Bergevin en avril 2018. À ce sujet, Martin Leclerc s’est présenté sur les ondes du 91,9 Sports, lors du show de LP et Gilbert, dans le but de livrer son opinion à ce propos.
Cette semaine, c’était la thématique « les huit ans de Bergevin », et pour terminer celle-ci, Leclerc a souligné les années noires du Canadien, soit de 2018 à 2020. Bref, le reset démarré en 2018 s’est amorcé avec le départ des joueurs russes, Andrei Markov et Alexander Radulov. Deux joueurs qui étaient autonomes, qui n’ont pas été échangés à la date butoir… pour partir lors de la période d’autonomie. Le monsieur les a perdus pour rien. Nada.
Autopsie du bilan de Bergevin: la réinitialisation
➡️ https://t.co/PbpuNUUNUE pic.twitter.com/xZNVrYLhtl— 91.9 Sports (@919sports) May 8, 2020
Cette année-là, ce fut l’arrivée de Karl Alzner, de Joe Morrow et du retour de Mark Streit, qui n’est pas demeurée longtemps pour son second séjour avec la Flanelle. Ces gars-là n’ont absolument rien offert au Canadien. C’était une opération de rapiéçage, comme l’a indiqué Leclerc, et plusieurs joueurs en étaient conscients à ce moment-là. Évidemment, cette tournure n’a pas plu à plusieurs d’entre eux. Ce fut un début catastrophique en 2018-19 puisque la défensive semblait tellement perdue…
Mais, l’une des pires situations a été « écrite » par Max Pacioretty avec le reset…
Au final, Pacioretty et Galchenyuk étaient peut-être des problèmes, mais la mauvaise évaluation de Marc Bergevin au sujet de certains joueurs ne doit pas être écartée des problèmes de cette organisation.