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Le Canadien de Montréal est différent de la plupart des autres équipes

Ça fait combien de fois que l’on s’interroge sur le top-6 du Canadien? On y retrouve en ce moment Jonathan Drouin, Max Pacioretty, Paul Byron, Alex Galchenyuk, Phillip Danault et Andrew Shaw. Il y a clairement un manque d’étoffe au sein des deux premières combinaisons. Donc, au moment de composer ce texte, Brendan Gallagher, le deuxième pointeur du club et le meilleur buteur du groupe, évolue sur la 3

Ailleurs dans le circuit Bettman, 20 des 31 formations utilisent son deuxième meilleur pointeur sur le premier trio.

Ça démontre que le problème du Canadien se situe réellement au niveau de ses six premiers attaquants, ou plutôt, ça confirme la vision des partisans, des analystes et des spécialistes qui l’affirment depuis juillet dernier. Le quatrième trio du Canadien amène également beaucoup d’eau au moulin. Lors des cinq derniers matchs, cette combinaison infatigable a récolté neuf points (combinés).

L’ailier droit de cette unité, Daniel Carr, collectionne les points depuis son rappel, lui qui en a 10 en 10 rencontres. Nicolas Deslauriers, pour sa part, frappe tout ce qui bouge avec un échec avant soutenu et un jeu physique impressionnant. Sa force demeure de remporter les bagarres le long des rampes. En plus de ça, il se démarque parfois en marquant des buts opportuns. Pour ce qui est de Byron Froese, disons qu’il complète bien les deux autres.

Au final, Brendan Gallagher s’est promené entre le trio numéro un et trois depuis l’amorce de cette campagne, alors qu’il devrait demeurer au sein de l’un des deux premiers trios. Gally écope pour le manque de chimie entre certains joueurs. C’est peut-être un peu injuste, mais en même temps, le numéro 11 s’adapte toujours aux situations qu’on lui présente.

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