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Le Canadien a été précis avec Michael McCarron

Le Canadien tente de développer un premier choix… comme un joueur de soutien. Un joueur de quatrième trio qui mange les bandes. Imaginez un instant qu’un joueur de premier tour doit comprendre qu’il n’en est pas réellement un et qu’il doit se développer comme un vulgaire pion de quatrième trio. C’est ce que Michael McCarron vit depuis qu’il a été sélectionné lors de l’encan amateur de 2013.

On le qualifie de « flop »… et avec raison. S’il avait été sélectionné au bon échelon, on n’utiliserait pas ce qualificatif.

Les demandes du Canadien sont simples, on souhaite qu’il devienne plus « mean ». On veut en faire un joueur méchant, qui peut dropper les mitaines. Toutefois, au bout des poings, c’est très laborieux. Big Mac a laissé tomber les gants, fort probablement par obligation, lors des deux derniers matchs du Canadien (Panthers et Penguins). Il a pratiquement passé plus de temps au cachot que sur la surface glacée, lui qui joue environ huit minutes par rencontre.

D’ailleurs, si vous avez parcouru les 31 Pensées d’Elliotte Friedman, vous avez probablement lu le point numéro 23? Si ce n’est pas le cas, voici ce qu’il disait :

Michael McCarron à propos de ce que les Canadiens lui ont dit à la suite d’une convocation: «Ils veulent que je sois plus piquant».

L’a-t-il été, Marc?

Donnons-lui, lors de cette présence, il a été très piquant. Roberto Luongo en grimaçait même! S’il peut remplir cette mission convenablement, il deviendra utile au bleu-blanc-rouge puisque sa fiche offensive d’aucun point en 11 rencontres ne séduit personne.

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