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La culture des Penguins est complètement différente de celle du Canadien

Quand on pense aux grosses équipes des années 2010, le nom des Penguins de Pittsburgh vient rapidementen tête. Constamment en séries, l’équipe tient à maintenir une culture gagnante au sein de l’organisation.

La preuve? Jason Zucker a peut-être coûté un peu cher, mais l’organisation n’a pas eu peur de payer le prix pour s’améliorer. L’objectif, c’est clairement la victoire chez les Penguins.

Chaque année, il y a eu un sentiment d’urgence. Chaque année, on a voulu gagner. Il n’y a jamais eu un autre objectif que celui de gagner la Coupe Stanley. – Letang

Voilà ce qui décrit la mentalité à Pittsburgh. Il est donc possible de faire un parrallèle différent avec le Canadien. Après tout, à Montréal, ce n’est pas exactement la même mentalité qui prévaut. Marc Bergevin ne cesse de répéter que de faire les séries est un bon moyen pour espérer gagner les grands honneurs.

Évidemment, contrairement à Montréal, plusieurs joueurs sont en ville pour y rester. Pas moins de huit joueurs, incluant les joueurs les plus importants, sont encore à Pittsburgh depuis les deux conquêtes de la Coupe Stanley des dernières années. Cela aide à construire un concept d’équipe parmi les joueurs qui évoluent là-bas.

À Montréal, les blessures ont coulé l’organisation. À Pittsburgh? Sidney Crosby, Nick Bjugstad, Patric Hornqvist, Justin Schultz, Brian Dumoulin, Evgeni Malkin, Kristopher Letang, Bryan Rust, Jake Guentzel et Jared McCann ont tous passé du temps à l’infirmerie. Malgré tout, l’équipe est encore au sommet dans l’Est.

Pas d’excuses, comme Bergevin le disait souvent.

Kris Letang cible la grande profondeur de l’équipe comme remède.

On le voyait à un moment donné, c’était un blessé après un autre après un autre, mais tout le monde a relevé le défi d’avoir plus de temps de jeu, de devoir aller aider sur l’avantage numérique, des choses comme ça. C’est bon de voir qu’on a autant de profondeur dans notre organisation. – Letang

Les adversaires de demain du CH sont résiliants. Ce ne sera pas un défi facile.

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