Quand on pense aux grosses équipes des années 2010, le nom des Penguins de Pittsburgh vient rapidementen tête. Constamment en séries, l’équipe tient à maintenir une culture gagnante au sein de l’organisation.
La preuve? Jason Zucker a peut-être coûté un peu cher, mais l’organisation n’a pas eu peur de payer le prix pour s’améliorer. L’objectif, c’est clairement la victoire chez les Penguins.
Chaque année, il y a eu un sentiment d’urgence. Chaque année, on a voulu gagner. Il n’y a jamais eu un autre objectif que celui de gagner la Coupe Stanley. – Letang
Voilà ce qui décrit la mentalité à Pittsburgh. Il est donc possible de faire un parrallèle différent avec le Canadien. Après tout, à Montréal, ce n’est pas exactement la même mentalité qui prévaut. Marc Bergevin ne cesse de répéter que de faire les séries est un bon moyen pour espérer gagner les grands honneurs.
Penguins: une culture de champions | Contrairement à certaines équipes, chez les Penguins, pas question de se contenter d'une participation aux séries.https://t.co/OSbvtNp40y
— Jonathan Bernier (@JBernierJDM) February 13, 2020
Évidemment, contrairement à Montréal, plusieurs joueurs sont en ville pour y rester. Pas moins de huit joueurs, incluant les joueurs les plus importants, sont encore à Pittsburgh depuis les deux conquêtes de la Coupe Stanley des dernières années. Cela aide à construire un concept d’équipe parmi les joueurs qui évoluent là-bas.
À Montréal, les blessures ont coulé l’organisation. À Pittsburgh? Sidney Crosby, Nick Bjugstad, Patric Hornqvist, Justin Schultz, Brian Dumoulin, Evgeni Malkin, Kristopher Letang, Bryan Rust, Jake Guentzel et Jared McCann ont tous passé du temps à l’infirmerie. Malgré tout, l’équipe est encore au sommet dans l’Est.
Pas d’excuses, comme Bergevin le disait souvent.
Les blessures? À Pittsburgh, ce n’est pas un problème https://t.co/flB4kScEu5
— La Presse Sports (@LaPresse_Sports) February 13, 2020
Kris Letang cible la grande profondeur de l’équipe comme remède.
On le voyait à un moment donné, c’était un blessé après un autre après un autre, mais tout le monde a relevé le défi d’avoir plus de temps de jeu, de devoir aller aider sur l’avantage numérique, des choses comme ça. C’est bon de voir qu’on a autant de profondeur dans notre organisation. – Letang
Les adversaires de demain du CH sont résiliants. Ce ne sera pas un défi facile.