On parle de Jonathan Drouin, de son grand talent, mais son inconstance demeure le sujet principal lorsque le numéro 92 apparaît dans nos discussions. Que faire pour le relancer? Que faire pour qu’il maintienne une constance afin qu’il brille sans arrêt lorsqu’il frôle la patinoire? L’ajout d’un mentor? Shea Weber en est un, non? Bref, on parle d’ajustements dans son jeu, dont l’effort supplémentaire, mais pourquoi ne pas lui « donner » un grand frère?
The #Habs should consider having a mentor for Jonathan Drouin https://t.co/NhZlBWETje
— Eyes on the Prize (@HabsEOTP) June 5, 2019
Weber demeure un excellent capitaine, mais ici, Julian McKenzie (EOTP) suggère plutôt un ancien joueur, une ancienne grande vedette du bleu-blanc-rouge pour lui tenir la main, le conseiller et lui enseigner les rudiments de jouer à Montréal. Jadis, Drouin a indiqué que parfois, il pensait à ça (avoir un mentor).
«Oui, parfois. Tu penses à ça. Il y a Guy Lafleur, je l’ai rencontré plusieurs fois et il est venu à mon tournoi de golf. Peut-être que cet été, il viendra encore me voir. Parfois, ils sont assez aimables pour venir nous voir avant même qu’on se tourne vers eux.» – Drouin en parlant des anciens joueurs du Canadien.
À 24 ans, le moment est venu pour Drouin d’éclore et de démontrer qu’il n’est pas à des années-lumière de Nathan MacKinnon… En ce moment, les deux ne figurent pas dans la même ligue puisque Mac apparaît au sommet des joueurs de la LNH et son nom peut s’imposer parmi les meilleurs de sa profession. Dans le cas de Jonathan Drouin, il se retrouve davantage dans le 2e tiers et non parmi l’élite.
Bref, Drouin n’a pas précisé que Lafleur serait le meilleur mentor pour lui, mais le kid commence à comprendre l’importance du marché montréalais. En comprenant cette facette primordiale peut-être que Jo Drouin se dirigera vers un ancien pour l’aider à jongler avec tout ça.