Jeff Petry souhaite que Phillip Danault et Brendan Gallagher restent à Montréal

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Après l’annonce de sa prolongation de contrat, Jeff Petry en a profité pour parler aux médias et discuter de cette grosse nouvelle.

Il a tout d’abord débuté en mentionnant à quel point il était fier d’enfiler l’uniforme du Canadien et de faire partie de cette organisation.

Ça, c’est l’attitude qu’il faut voir de la part d’un joueur qui pourrait rapidement devenir le premier défenseur de l’équipe.

Il a également mentionné que certains facteurs ont évidemment influencé sa décision au niveau hockey. En plus d’apprécier les deux acquisitions de Marc Bergevin jusqu’à maintenant (Jake Allen et Joel Edmundson), il avoue que l’émergence de Nick Suzuki et de Jesperi Kotkaniemi lors des dernières séries éliminatoires lui a donné envie de rester, puisqu’il apprécie la direction dans laquelle l’équipe se dirige.

Il avoue qu’il n’a pas beaucoup hésité quand l’opportunité de signer une extension s’est présentée à lui. Avec l’incertitude économique liée à la pandémie, il était très heureux de pouvoir assurer son avenir dès maintenant, surtout que tout s’est réglé en deux semaines.

Mais le point le plus important amené par le défenseur natif du Michigan durant sa présence médiatique, c’est lorsqu’il a été questionné sur les joueurs qu’il souhaitait voir demeurer avec l’équipe pour les prochaines années. Il a tout d’abord nommé Brendan Gallagher, puis Phillip Danault.

On sait que les deux pourront profiter de l’autonomie complète dès la fin de la prochaine saison, ce qui signifie que Petry souhaite les voir faire comme il a fait et s’assurer de signer une prolongation de contrat à long terme avec la Sainte-Flanelle.

En plus, comme il n’a pas obtenu d’augmentation majeure, ça sera bien plus facile pour Marc Bergevin de s’assurer des services de ces deux joueurs en respectant le cap salarial.

Bref, est-ce que Marc Bergevin répondra à cette demande? Ça ne serait pas surprenant, surtout qu’ils sont tellement importants à l’équipe dans leurs rôles respectifs ainsi qu’au niveau du leadership.

Du moins, c’est l’opinion de Jeff Petry.