On dit beaucoup de bien d’Ilya Kovalchuk depuis qu’il enfile cette flanelle bleu-blanc-rouge, ce qui donne raison aux arguments de Bob Hartley, qui disait que les fans du Canadien l’aimeraient. Non seulement les fans, mais aussi ses coéquipiers, les entraîneurs et la direction. Tout le monde a eu un coup de foudre soudain pour le numéro 17.
Kovalchuk aide les jeunes à devenir meilleurs comme athlète et comme humain. Il n’a pas peur de les conseiller et de passer du temps avec eux. Kovy voyage d’ailleurs avec Victor Mete, qui lui sert de chauffeur désigné, et le jeune défenseur ne s’en cache pas : Kovalchuk est une légende et il a la chance de le côtoyer seul à seul comme ça.
Jusqu’ici, depuis son acquisition, il est le meilleur joueur du Canadien, tout en étant le plus dédié, lui qui tourne toujours ses paroles vers l’équipe. Il est un catalyseur, rien de moins. Par contre, le catalyseur a besoin d’aide lui aussi et il peut compter sur Phillip Danault pour ça.
«Il est Québécois, donc il m’aide beaucoup pour me dire à quoi m’attendre de vous.» 😅
Kovy à propos de Danault. #GoHabsGo pic.twitter.com/IQAIPTCyGe
— Canadiens Montréal (@CanadiensMTL) January 17, 2020
Danault est un bon joueur (ça vient directement de la bouche du grand Kovalchuk), un bon vétéran dans le vestiaire et comme joueur originaire du Québec, il aide énormément le Russe, surtout lorsqu’il lui a précisé de se méfier des médias. Kovalchuk ne l’a pas dit comme ça, mais semblerait-il que Danault l’a avisé à quoi s’attendre des médias?
Dans ce face à face entre les médias et Kovalchuk, on sent à quel point le Russe est zen et détendu. Lorsqu’il indique les dires de Danault, tout le monde explose de rire, démontrant parfaitement dans quel état d’esprit se retrouve Ilya Kovalchuk en ce moment.