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Geoff Molson avoue que le CH a l’œil sur quelques buteurs

Depuis quelques semaines, les membres de l’état-major du Canadien donnent l’impression d’avoir bu un sérum de vérité, alors qu’après des années où on semblait vouloir cacher notre jeu, les informations coulent maintenant à flot de la bouche même des gens en charge de l’organisation.

J’imagine que de voir l’équipe aussi prometteuse y est pour quelque chose!

Bref, alors que Marc Bergevin donne de multiples entrevues récemment, c’était aujourd’hui au tour de Geoff Molson de répondre aux questions des médias, alors que Chantal Machabée a eu la chance de s’entretenir avec le propriétaire du Canadien.

Et disons que Molson a donné des informations très intéressantes.

Tout d’abord, il a avoué qu’il souhaite vraiment voir Brendan Gallagher signer un contrat à long terme et que Marc Bergevin a tout son support pour mener à bien ces négociations. Il sait que Gallagher est un atout important de l’équipe et veut qu’un joueur aussi travaillant demeure dans l’équipe pour longtemps.

Il a également parlé d’un autre joueur qu’il souhaite voir demeurer à Montréal, et il s’agit de nul autre que Phillip Danault.

Malgré les rumeurs qui circulent, Molson espère voir le Québécois demeurer dans le giron de l’équipe, et ce, pour plusieurs années encore.

Ça fait suite aux propos de Jeff Petry, qui avait lui aussi déclaré vouloir voir les deux joueurs demeurer à Montréal à long terme.

Et non, tout comme Petry, Geoff Molson n’a pas parlé de Tomas Tatar.

Finalement, le propriétaire de l’équipe a pris la peine de spécifier que le Canadien a établi une liste de joueurs qui ont la capacité de marquer et qui pourraient combler les besoins offensifs du club. Molson n’a évidemment pas donné de noms, mais on a maintenant la confirmation que l’équipe a la ferme intention de bouger dans ce sens.

Molson est toutefois conscient que le cap salarial sera un facteur et qu’ils devront en tenir compte, mais au final, il voit certains joueurs qui pourraient faire le travail sans prendre trop de place sur la masse salariale.

Reste maintenant à faire suivre ces paroles par des gestes concrets.

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