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Cole Caufield et Peyton Krebs ont échappé le « F word » devant les caméras

On a eu droit hier à un match à sens unique entre le Canada et la Russie

Et à tout un spectacle entre les Américaines et les Finlandais.

La grande finale de ce soir (21h30) qui opposera les Américains aux Canadiens sera fort probablement quelque chose. Trevor Zegras (USA) et Dylan Cozens (Canada) ont chacun 16 points depuis le début du tournoi. Qui aura le dessus sur l’autre?

Le Canada, même privé de Kirby Dach, Owen Power et Alexis Lafrenière, a inscrit pas moins de 41 buts en seulement six rencontres depuis le début du tournoi. Et il n’en a laissé rentrer que quatre…

Devon Levi (.975 et 0,53) pourrait devenir le gardien affichant la meilleure moyenne de buts alloués ET le meilleur pourcentage d’efficacité du tournoi ce soir.

Est-ce que les Américains parviendront à donner une vraie opposition aux Canadiens? Est-ce que les (jeunes) hommes d’André Tourigny prendront leurs adversaires à la légère? J’en doute…

Deux petits moments captés par les caméras en lien avec les demi-finales nous font bien rigoler hier soir.

1. Peyton Krebs a insulté son adversaire russe alors qu’un micro se trouvait à proximité de lui, qu’il était ouvert… et que l’amphithéâtre était vide, rappelons-le. F*ck you little b*tch!

Un grand moment de télé… presqu’aussi grand que celui impliquant Martin McGuire dans la bulle torontoise l’été dernier!

Attention! Ce genre de commentaires (celui de Krebs, pas de McGuire) est chose fréquente sur la patinoire. Généralement, ils se disent toutefois loin des caméras/micros et ils sont enterrés sous le bruit de la foule.


2. Cole Caufield a lui-aussi laissé échapper le N F word. Par contre, dans son cas, ça s’est fait après la rencontre, alors que moins de gens étaient devant leur écran…

Et ça ne s’est pas fait de façon haineuse. Il n’y avait pas de frustration ou d’insultes dans les paroles de Caufield.

Caufield a demandé au responsable de couper ça au montage… chose qu’il n’a pas faite.

Il a tellement l’air d’un bon kid qu’on lui a déjà tous pardonné.

Si on a pardonné à Pierre-Luc Dubois il y a deux ans, il faut savoir pardonner à Caufield, hehe.

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