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C’est la fin pour Michael McCarron à Montréal

Qualifié de flop, avec justesse, le grand Michael McCarron a fort probablement terminé son parcours avec l’organisation bleu-blanc-rouge. À l’instar de Jarred Tinordi, il a été un choix de premier tour pour les mauvaises raisons. À cette époque, le Canadien cherchait du gros steak afin de « grossir » son bassin d’espoirs… Une solution qui, au final, aura été une série d’insuccès.

Le qualificatif « attaquant de puissance » ne mérite aucunement de se retrouver collé sur le nom de Michael McCarron. Ce serait une honte pour un gars comme Wayne Simmonds, qui est le prototype exact de cette expression.

Il a quoi de puissant, lui?

Lavoie et Dubé en ont d’ailleurs jasé sur les ondes de TVA Sports. Renaud Lavoie a touché un point intéressant au sujet de la bagarre de McCarron contre les Panthers : « On dirait qu’il s’est senti obligé de le faire. Ça me fait penser au dernier moment de Jarred Tinordi avec le Canadien! »

Dubé était en harmonie avec son collègue : « Je n’ai pas l’impression qu’il travaille sur ses faiblesses, qui sont vraiment évidentes! »

Monsieur Dubé a également précisé que pour un gars de sa stature, il devrait être plus efficace le long des rampes (les bagarres corps à corps). De plus, il est incapable d’organiser une attaque… À partir de là, avec cette tonne de lacunes et son inefficacité dans toutes ces facettes, il sert à quoi au sein d’un alignement? Ah oui. Sans oublier son coup de patin déficient.

Pour ne pas trop avoir l’air fou, Bergevin doit trouver une façon de le transiger puisqu’il ne faut pas oublier une chose : McCarron est un ancien choix de premier tour. On sait que le Canadien s’est planté, mais s’il peut éviter d’avoir l’air encore plus fou en ne conservant pas ses services à la suite de cette campagne, il doit le bouger…

S’il avait été sélectionné au troisième ou quatrième tour, on chialerait moins… et peut-être qu’il n’aurait JAMAIS joué dans le show.

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