Échange de Carey Price : son épouse Angela souhaite « le mieux pour l'équipe »

Aujourd'hui, en ce 1er septembre, Carey Price est un homme plus riche qu'il ne l'était hier. Le gardien vient de toucher son dernier boni à la signature sur son présent contrat (5,5 M$)… ce qui fait en sorte qu'il ne reste que 2 M$ à lui verser (en salaire) d'ici la fin de l'année.

Cela dit, son cap hit est tout de même de 10,5 M$… ce qui fait en sorte que soudainement, il devient une option fort intéressante pour une équipe qui veut atteindre le plancher salarial. C'est pour ça qu'à tout moment, il pourrait être échangé.

Et aujourd'hui, via son compte Instagram, l'épouse de Carey Price, Angela, a été questionnée à savoir comment elle réagirait si le contrat de son époux en venait à être échangé au cours des prochains jours.

Et ce qu'on comprend, c'est qu'elle serait probablement déçue que ça se fasse, mais… :

Je me sentirais un peu comme la majorité des gens à Montréal, mais en bout de ligne, tu veux ce qu'il y a de mieux pour l'équipe. – Angela Price

Évidemment, on peut comprendre cette réaction-là. Il y a quelque chose de noble qui vient avec le fait de passer toute sa carrière avec une même équipe… même si dans les faits, Price sera toujours reconnu comme un gars qui a passé toute sa carrière à Montréal.

Même si la version officielle dit autre chose, ce n'est pas cette version-là dont on va se souvenir. Personne ne se souvient de Pavel Datsyuk comme d'un membre des Coyotes de l'Arizona, t'sais.

Il faut rappeler que théoriquement, Price pourrait refuser une transaction qui l'enverrait avec une autre équipe. Mais non, même si on peut penser qu'il aimerait être un membre du CH jusqu'à la fin, il ne se prévaudra pas de sa clause.

Parce que comme le dit son épouse, le plus important, c'est ce qui est le mieux pour l'équipe.

On verra donc ce que ça va donner au cours des prochains jours, mais ça ne semble vraiment être qu'une simple question de temps avant que Price ne soit échangé. Et ce, même si ce serait un dénouement qui serait un brin décevant pour les grands sentimentaux.