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Dossier Mailloux : France Margaret Bélanger insiste qu’elle n’est pas en position de le condamner

Même plusieurs mois après avoir été repêché, Logan Mailloux continue de faire les manchettes. On le sait, il a été suspendu de la OHL pour cette année et son avenir dans la LNH est toujours incertain.

Évidemment, lors des dernières semaines, plusieurs ont commenté la situation, dont Bill Daley, qui avait affirmé qu’il aimait la façon avec laquelle le Canadien traite le dossier.

La présidente Sports et divertissement de l’équipe, France Margaret Bélanger croit que c’est (la sélection) chose faite et qu’il est temps de regarder vers l’avant et non dans le passé.

Dans une entrevue à TVA Sports, Madame Bélanger a été invitée à commenter la sélection de Mailloux, mais elle a dit qu’elle n’est pas en position de le condamner. Et elle a bien raison, quelques partisans devraient prendre exemple sur elle.

Parce que si elle, présidente Sports et divertissement d’une des plus grosses organisations de la LNH, n’est pas en position de le condamner sur la place publique, le partisan moyen ne l’est pas plus. Et je m’inclus là-dedans.

Dans mon rôle, au niveau professionnel avec l’organisation, cette décision a été prise. Elle est prise. Je ne reviens pas en arrière. C’est fait et je regarde vers l’avant. – France Margaret Bélanger

Mme Bélanger a ajouté qu’il faut s’en tenir au plan d’action et de consentement d’un million de dollars mis en place par Geneviève Paquette, vice-présidente, engagement communautaire et directrice générale de la Fondation du Canadien le mois dernier. Elle aussi, ne s’était pas prononcée sur le dossier Mailloux.

C’est là où mes efforts se trouvent. C’est-à-dire comment améliorer cette fâcheuse situation et la tourner en quelque chose de constructif. Comment on fait et quelles sommes, ou ressources, on met de l’avant. – France Margaret Bélanger

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