Commentaires à propos des partisans : Kristopher Letang revient sur ce qu'il a dit
Crédit: Kyle Ross-USA TODAY Sports

La semaine dernière, Kristopher Letang a fait jaser de lui pour les mauvaises raisons suite à un passage au podcast Entre la Poire et le Fromage.

En gros, le défenseur a dit que les partisans ne devraient pas parler au « on » lorsqu'ils jasent de leur équipe respective… et ses commentaires ont retenu l'attention de façon négative.

Letang a tenu à rectifier le tir lors d'une discussion avec Renaud Lavoie.

Ultimement, Letang a mentionné qu'il ne cherchait pas à s'en prendre aux partisans et qu'il sait à quel point les partisans du Canadien et des Penguins sont spéciaux. Il a rappelé qu'il aimait la ville de Montréal et que même si la passion des fans est « moins grande » à Pittsburgh, il apprécie tout de même le support des partisans de son équipe.

Le hockey n'est pas au même niveau que Montréal, mais nos fans sont exceptionnels. C'est ce qui fait notre franchise, un endroit où les joueurs veulent venir jouer. Je voulais clarifier ça, mettre ça derrière moi. – Kristopher Letang

Letang a aussi clarifié ceci : en disant ce qu'il a dit, il s'adressait aux partisans qui pensent faire partie de leur équipe même si cela ne représente pas l'essentiel de leur métier respectif. 

Je comprends d'où ça vient dans un sens… mais quand même.

J'ai encore tendance à croire que Letang aurait pu éviter un commentaire du genre. Il aurait pu décider de ne pas dire ce qu'il a dit et même s'il juge que ses paroles ont été prises hors contexte, ça donne le même résultat au final.

Et c'est de ça dont les gens se souviennent aussi.

Parce qu'il a beau dire qu'il aime les partisans de son club et ceux à Montréal, mais le mal a déjà été fait. Il n'a peut-être pas voulu s'en prendre directement aux partisans et il ne pensait peut-être pas que ses commentaires allaient devenir aussi importants… mais c'était quand même assez clair quand il l'a dit aussi.

Et c'est ça qui ne change pas dans l'histoire.

En rafale

– J'aimerais ça.

– À suivre.

– Oui.

– Super.