Coin des rumeurs : le nom de Max Pacioretty génère de l’attention dans la LNH

Max Pacioretty a été malchanceux dans la dernière année, subissant deux déchirures au tendon d’Achille.

Sa deuxième blessure en l’espace de quelques mois seulement a mis un terme à sa saison, l’ancien capitaine du CH étant en mesure de disputer seulement cinq matchs en 2022-2023.

On se demandait ce que ses bobos voulaient dire pour la suite des choses parce que Pacioretty a 34 ans. Lui, semble-t-il qu’il veut poursuivre sa carrière dans la LNH…

Et présentement, son nom génère de l’attention aux quatre coins de la ligue. Frank Seravalli n’écarte pas un retour en Caroline pour la prochaine saison, mais il établit aussi le fait que la cohorte 2023 des agents libres lui permet d’être l’un des joueurs intriguant sur le marché.

Le principal intéressé ne devrait donc pas avoir trop de problèmes afin de se trouver une nouvelle entente pour l’an prochain.

Maintenant, il ne restera qu’à voir s’il est mesure de rester en santé.

Les Flyers, agressifs… Mais pas tant que ça 

Ça me surprend un peu de voir Daniel Brière dire tout haut qu’il ne faut pas nécessairement s’attendre à voir les Flyers ajouter un autre choix de première ronde à leur banque.

Est-ce qu’ils sont en train de bluffer tout le monde?

Après tout, le club entre dans une longue reconstruction… Et c’est le moment présentement de liquider le stock qui est encore bon.

C’est comme dans une vente de garage, dans le fond. 

De l’autre côté, le nouveau DG des Flyers a raison en affirmant que ça prend deux personnes pour danser. C’est un fait, tout simplement, et il peut être difficile dans la LNH de se trouver un partenaire de danse.

Mais, encore là… Dans l’optique où le club ne participera clairement pas aux séries lors des prochaines années, on dirait que j’aurais aimé le voir être plus agressif dans sa recherche sur le marché des transactions.

Blake Wheeler à Winnipeg, c’est peut-être terminé 

Dans la LNH, il est assez rare de voir une formation enlever le titre de capitaine à l’un de ses joueurs… Et pourtant, les Jets l’ont fait l’année dernière avec Blake Wheeler.

Le vétéran a toujours affirmé qu’il comprenait la décision, mais au final, ça doit toujours être un brin difficile à avaler.

À Winnipeg, on ne sait pas ce qui attend l’équipe dans un avenir rapproché. Pierre-Luc Dubois est sur son départ, tout comme Connor Hellebuyck…

Et Mark Scheifele, lui, sera admissible à l’autonomie complète à l’été 2024. Les chances de le voir quitter sont grandes, semble-t-il… Et le même discours s’applique à Wheeler.

En fait, l’ancien capitaine des Jets et la formation travailleraient en ce moment sur la possibilité de voir le joueur être racheté. Il s’agirait d’un accord mutuel pour permettre à Wheeler de signer un contrat ailleurs, sûrement pour lui donner l’occasion de gagner une Coupe Stanley avant de prendre sa retraite…

Parce qu’il n’y a personne qui sera intéressé à échanger pour ses services avec son contrat de 8.25 M$ lors de la prochaine saison. 

De bons vétérans seront disponibles cet été

Nick Foligno, Corey Perry, Erik Johnson, Paul Stastny, Zach Parise, Marc Staal, Phil Kessel, Milan Lucic et Ryan Reaves.

Ces joueurs-là ont tous au moins quelque chose en commun. Ils sont vieillissants, mais ils ont tout de même le potentiel d’aider une équipe de la LNH lors de la prochaine saison.

On s’entend, il serait surprenant un brin de voir ces gars-là signer une nouvelle entente avec une formation qui n’aspire pas aux grand honneurs. À moins de vouloir absolument jouer un rôle de mentor au sein d’une équipe qui est en reconstruction, ça n’a tout simplement pas de sens.

Souvent, on dit que les vétérans sont importants dans une équipe, surtout en séries éliminatoires. Les joueurs nommés ci-haut pourraient devenir des paris à faible risque pour certains clubs de la LNH…

Et on doit s’attendre à ce que ces gars-là, en raison de leur expérience, reçoivent (au moins) une invitation professionnelle à certains camps de la LNH.

Pour ceux qui se posent la question : non, je n’en vois pas un en particulier à Montréal… À part peut-être Corey Perry, qui aime déjà la ville.

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