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Claude Julien est-il le problème avec l’avantage numérique?

L’avantage numérique qui ne produit pas a été un sujet d’inquiétude constant durant le mois de décembre dans le giron du Canadien.

26 occasions consécutives bousillées, c’est trop!

Dans les deux derniers matchs, on a vu des signes encourageants avec un but dans chaque duel. Un taux d’efficacité combiné de 28,5% (2 en 7).

Avant le duel d’hier, les panélistes de Hockey Inside/Out ont abordé le sujet et y ont été d’analyses qui méritent réflexion.

Chris Nilan a été le plus direct : oui, Kirk Muller est le responsable de cette unité, mais si celle-ci ne rapporte pas de dividendes, c’est au grand manitou derrière le banc de mettre le pied à terre et voir au redressement.

Il a ajouté que Claude Julien n’est pas un entraineur qui favorise cette facette du jeu. En 2011, lors de sa conquête de la Coupe Stanley, ses Bruins avaient un avantage numérique très ordinaire malgré la présence de Zdeno Chara.

Après une vérification très rapide, il est vrai que lors de ces séries, les Bruins ont fait piètre figure en PP, avec un pourcentage d’efficacité de 11,4%. Mais de là à dire que ses équipes ont eu peu de succès avec un homme en plus, c’est un pas difficile à faire. Dans ses cinq dernières saisons complètes sous la férule de Claude Julien, Boston a eu un pourcentage d’efficacité de plus de 20% à deux reprises.

Finalement, l’ancien dur à cuire trouve que l’expérience Jonathan Drouin à la pointe a assez duré et qu’il est temps de rechercher un véritable quart-arrière pour appuyer le capitaine.

Alors que Jessica Rusnak souhaite, quant à elle, voir le Bleu-Blanc-Rouge provoquer ses chances en tirant davantage vers le filet, Jack Todd, lui, trouve que plus souvent qu’autrement, la rondelle reste avec le même joueur plus de deux secondes, ce qui ferme les options et rend le Tricolore prévisible pour les adversaires.

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