« C'est bon, t'en as assez dit » : Martin St-Louis trouvait que son père jasait pas mal à Crave
Crédit: NHL

Chaque jeudi matin, ces temps-ci sur la plateforme Crave, il y a un nouvel épisode du documentaire « La Reconstruction » qui est dévoilé au grand jour.

Je dis jeudi matin parce que je ne suis pas exactement un oiseau de nuit, dans la vie. Mais à minuit, dans la nuit de mercredi à jeudi, c'est aussi disponible.

Le CH nous amène dans les coulisses de sa saison 2024-2025, ce qui donne de bons moments.

Episode four of The Rebuild S2, the behind-the-scenes Habs documentary, is now streaming on Crave.

[image or embed]

— /r/Habs (@habsonreddit.bsky.social) 4 septembre 2025 à 00:29

Et cette semaine, un moment qui était intéressant, c'est celui où le père de Martin St-Louis, Normand, a répondu à quelques questions de l'équipe de Crave.

En marge de la date limite des transactions, Normand St-Louis a mentionné qu'à ce temps-ci de l'année, il est rare de voir des joueurs être échangés contre des joueurs : c'est surtout contre des choix.

Normand, avec sa casquette du Canadien sur la tête, s'est demandé si ça valait la peine de sortir des gars de Montréal contre des choix qui ne seront pas de première ronde et qui ne feront peut-être jamais le club.

Et c'est là que son fils, qui devait sans doute se sentir pris entre l'arbre et l'écorce, a dit ceci :

C'est bon, t'en as assez dit. – Martin St-Louis à son père

Évidemment, c'était un peu à la blague… mais dans chaque joke, il y a un fond de vérité. Et clairement, le coach du CH ne voulait pas voir son père en dire trop.

L'entraîneur a ajouté que son travail était de diriger le club et qu'il a confiance en ses patrons.

Normand St-Louis a aussi ajouté qu'il était surpris quand son fils a été nommé entraîneur du Canadien, compte tenu du fait qu'il dirigeait ses enfants seulement. Mais il est content.

Il ne pensait pas qu'un jour, son fils dirigerait dans la Ligue nationale. Mais c'est ce qu'il fait – et il le fait bien.

prolongation

Le père de Martin a aussi mentionné qu'en anglais et en français, son fils est bon lors des conférences de presse. Et il trouve aussi que les conférences sont plus longues maintenant que c'est Martin le coach.

C'était un bon moment de télé avec son père, donc. Ça a rendu le show plus vrai, dans un sens.