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Brett Connolly et Ryan Dzingel pour le Canadien de Montréal?

Mine de rien, le 1er juillet s’en vient, donc les spéculations autour des joueurs que devrait signer Marc Bergevin tournent davantage. Artemi Panarin, Matt Duchene et Jake Gardiner sont les noms principaux qui sont liés au Canadien. Pourquoi? Parce que ça prend une vedette à l’attaque et un défenseur pour animer le flanc gauche. Par contre, fort probablement que Marc Bergevin ajoutera une profondeur un brin moins reluisante… Bergevin et le Canadien ont beaucoup de profondeur, mais une profondeur dite de soutien.

Donc, en parcourant l’excellent texte d’Olivier Bouchard, je me suis aussitôt mis à sourire en apercevant quelques noms suggérés. Malgré les 11 millions de dollars disponibles sous la masse salariale, Bergevin pourrait nous surprendre avec un Brett Connolly par exemple. Ou même un Ryan Dzingel. Dzingel est peut-être un franc tireur – il a inscrit 26 buts cette année -, mais ses lacunes en défensive ne sont pas séduisantes pour une équipe comme le Canadien.

Brett Connolly, qui a éclot lorsqu’il est débarqué à Washington, a fait scintiller la lumière rouge à 22 reprises lors de ses 81 rencontres en 2018-19. Il est capable de se démarquer dans l’enclave et son jeu défensif a un côté plus charmant pour Claude Julien et Marc Bergevin. À 27 ans, il est en train d’atteindre son plein potentiel et un contrat de 4 ou 5 ans de 3 millions de dollars par année, ça semble raisonnable, lui qui empochait 1.5 million $ la saison passée. Quoique les Capitals tenteront fort probablement de le ramener à bord puisqu’il a pris une place importante avec eux.

Toutefois, si Marc Bergevin désire économiser encore davantage, il pourrait se tourner vers des joueurs comme Brandon Pirri et Joonas Donskoi, qui coûteront beaucoup moins cher. Pirri est un homme à tout faire, puis il peut même marquer plus souvent qu’à son tour. Néanmoins, ce n’est pas du tout le type de joueur dont a besoin le Canadien de Montréal. Berg devrait se concentrer sur Matt Duchene. Voilà!

J’aime l’étude d’Olivier Bouchard, mais ce dont le Canadien a besoin pour son attaque, c’est une vedette, le lion pour qui tu te déplaces pour le contempler. Puis, des ententes à court terme, elles sont très rares le 1er juillet. 

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