Le Canadien doit être satisfait de son rendement en avantage numérique, cette saison. En 2018-2019, la formation montréalaise s’est classée au 30e rang de la LNH à ce chapitre, avec un taux d’efficacité absolument terrible de 13,3%.
Cette saison, les choses se sont replacées. Le Tricolore frôle la barre des 20% et se classe au 13e rang de la LNH. Qu’on le veuille ou non, c’est une amélioration marquée dont on ne peut tout simplement pas se plaindre.
Mais il y a une statistique inexplicable qui a été soulevée par TVA Sports, hier soir.
C’est que c’est le jour et la nuit pour Montréal, à domicile et à l’étranger.
Lorsqu’il joue au Centre Bell, le Canadien affiche une efficacité décevante de 14,8% – bon (ou mauvais) pour le 28e rang du circuit Bettman.
Tandis que lorsque le Canadien est sur la route, l’attaque massive n’est pas seulement l’une des meilleures de la LNH… Mais bien LA meilleure des 31 équipes. Personne ne surpasse le taux d’efficacité de 27% de la formation de Claude Julien.
— TVA Sports (@TVASports) February 8, 2020
Selon Renaud Lavoie, Claude Julien a tenté de remédier à ce problème en trouvant de nouvelles formules afin d’avoir du succès… Mais le problème, à la base, est qu’il est incompréhensible d’être aussi efficace sur la route, et aussi inefficace sur sa propre patinoire.
Ce n’est pas le plus gros problème du monde, mais c’est un peu bizarre.