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À peine revenu dans la LNH, John Tortorella à nouveau dans l’eau chaude pour ses propos avec un joueur

Vous vous souvenez de la belle époque où John Tortorella envoyait promener les médias au lieu de répondre aux questions après un match ? C’est flou comme description, je sais. Parce que Torts, comme on le surnomme, a tendance à faire ça pas mal partout où il passe comme entraîneur. Tampa Bay, New York, Vancouver, Columbus et probablement éventuellement à Philadelphie.

Mais, le mentor de Martin St-Louis n’a pas besoin d’attendre de se retrouver derrière le banc des Flyers pour être de nouveau sous les projecteurs pour quelques-uns de ses propos.

Il est « bon » à ce point-là, si vous me permettez l’ironie. Mais surtout, il est là depuis tellement longtemps dans le show, que des histoires sur lui, ça ne manque pas. Ça, et le fait qu’il semble avoir manqué pas mal de cours de morale à la petite école quand il était jeune !

L’histoire la plus récente a été dévoilée par Brandon Prust, alors que les deux hommes se sont croisés dans la Grosse Pomme avec les Rangers. De passage au podcast Missin’ Curfew, animé par Shane O’Brien et Scottie Upshall, l’ancien conjoint de Marie-Pier Morin a révélé une histoire qui m’a pas mal fait grincer des dents à propos du bouillant entraîneur et de Brad Richards.

Vous allez voir, ça ne fait aucun sens !

En français, ça donne ça :

« Je me souviens de l’arrivée de Richards à New York, nous sommes devenus de bons amis. Richy a commencé un peu lentement, nous avons commencé un peu lentement et Torts étant Torts, il ne dormait probablement pas si nous perdions.

Nous sommes sortis après le match un soir et Torts a dû appeler Richy sur le chemin du retour. Richy arrive et dit «Torts vient de m’appeler, il m’a dit de me droguer et d’autres choses»

Torts lui a dit : «Richy, je ne sais pas ce qui ne va pas chez toi, mais sors de chez toi, va t’éclater, prends de la drogue ou quelque chose comme ça». » – Brandon Prust

Je n’en reviens pas !

Gagner, c’est important. Je comprends ça, mais pas au point d’inciter quelqu’un à consommer de la drogue et possiblement à retomber dans ses vieux démons. Ce n’est pas SI IMPORTANT que ça, la victoire.

Malgré ça, le vieux routier est resté en poste. Pire, il s’est rendu en troisième ronde des séries, son parcours printanier le plus long avec eux. C’est comme si la vie lui donnait raison d’avoir agi ainsi.

J’espère que cette histoire va faire des vagues à Philadelphie et qu’il ne reste pas trop longtemps en poste.

Il peut bien retourner se bercer sur son perron en chialant que sa pelouse n’est pas assez verte à son goût. Tant qu’il est loin de la LNH, je serai très heureux.

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