Ça jase et ça bouge un brin à l’aube de la date butoir. Plusieurs noms se retrouvent sur le marché des transactions, dont Jesse Puljujarvi. Celui qui a été sélectionné au quatrième rang lors de l’encan 2016, derrière Pierre-Luc Dubois, Patrik Laine et Auston Matthews, ne lève pas du tout comme l’espérait l’organisation… Du temps dans la Ligue américaine et des moments ardus au sein de la LNH, c’est ça, Puljujarvi.
“But I think it’s time that they actually seriously consider their trade options.” #Oilers https://t.co/uPawMUAc9C
— Chris Nichols (@NicholsOnHockey) February 14, 2019
Malgré l’arrivée de Ken Hitchcock, qui lui donne plus d’amour que son prédécesseur, le but du nouveau DG par intérim, Keith Gretzky, semble réellement décidé à le sortir de son organigramme. Bref, son nom est placé sur le marché, mais le prix semble toutefois très/trop élevé, donc pas impossible qu’il demeure avec les Huileux à la suite du 25 février. Ils doivent absolument considérer sérieusement les opportunités qu’ils ont ou auraient en retour du Finlandais.
Toutefois, d’un autre côté, les Oilers démontrent qu’ils sont réticents avec ce qu’ils demandent en retour et c’est tout à fait normal. Il a du potentiel qu’on ne « connaît pas » et il pourrait exploser en endossant le maillot d’une autre formation. Personne ne peut certifier les demandes exactes, mais il serait élevé au niveau du supposé potentiel du numéro 98…
Lors du duel contre les Penguins, il a été dynamique, il a connu une bonne rencontre, mais son compteur indique tout de même des chiffres très médiocres. Cette année, en 45 joutes, il a seulement quatre buts, pour un total de neuf points. Ce n’est guère suffisant pour un joueur qui devait aider les Oilers d’Edmonton à progresser. Pour l’instant, rien ne progresse. Même pas Puljujarvi… et même pas les Oilers.
À noter que Jesse Puljujarvi écoule la dernière année de son accord d’entrée et il deviendra donc agent libre avec restriction à partir du 1er juillet.