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Patrick Kane en veut à son directeur général

Si ça va mal à Montréal, on peut en dire tout autant du côté de Chicago, qui ne participera pas à la prochaine valse printanière. Pourtant, la mission de l’organisation était de revenir en force en 2017-18, mais cette tentative a échoué. Le nom de Joel Quenneville s’est d’ailleurs mis à circuler pas mal pour la première fois depuis 10 ans. Mais tout ça part d’où?

Est-ce le retour de Brandon Saad au sein du groupe qui a brisé quelque chose? Saad est un grand ami du capitaine, Jonathan Toews, donc j’imagine que Stan Bowman a voulu gâter son meneur. Au moment de composer ce texte, Saad n’a que 29 points, dont 15 buts, en 70 matchs. C’est très peu et ce manque d’offensive de sa part n’aide en rien le dynamisme de cette équipe.

Un retour ardu!

Sans dire que c’est de sa faute, cette transaction a quand même démantelé le duo électrisant que formaient Patrick Kane et Artemi Panarin. Kane lui-même a mentionné que son départ a fait TRÈS mal au groupe, surtout que le 88 a confirmé ne jamais avoir eu autant de chimie avec un joueur. C’était tellement divertissant apercevoir ces deux-là (Kane et Panarin) sur une surface glacée.

Donc, Bowman a voulu faire plaisir à Jonathan Toews, mais il a déçu Patrick Kane de l’autre côté. Ah oui. Peut-être que le retour de Patrick Sharp en a dérangé quelques-uns puisque ça semble s’être terminé drôlement la dernière fois.

Kane a 66 points en 70 joutes. Toews en a 49 en 70… et Panarin en a 61 en 70. Dans le fond, Toews ne performe pas plus cette année et Saad n’est pas aussi efficace que souhaité. Donc, au final, Stan Bowman n’a pas eu gain de cause dans cette transaction. Pendant ce temps-là, John Tortorella affiche un grand sourire.

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