Les Blackhawks de Chicago connaissent un début de saison bien meilleur que ce que certains observateurs avaient anticipé. Après sept parties de jouées, la troupe de Joel Quenneville se situe au sixième rang dans la LNH, grâce à une fiche de 4-1-2.
Les Hawks commencent peu à peu à se fier à la jeunesse, puisque les vétérans de l’équipe comme Duncan Keith, Brent Seabrook ou encore Corey Crawford deviennent de plus en plus vieux.
Jonathan Toews (qui a amassé dix points en sept matchs depuis le début de l’année) et Patrick Kane sont évidemment toujours les leaders incontestés de l’équipe.
Les Jokiharju, Schmaltz et DeBrincat prennent, eux, de plus en plus de place et d’importance au sein de l’alignement.
D’ailleurs, le dernier cité avait connu une saison recrue pas piquée des vers, récoltant 52 points en 82 matchs, aux côtés de Jonathan Toews.
Le choix de deuxième ronde (qui appartenait au préalable au Canadien) s’est révélé être tout un vol de la part du club, mais cela était somme toute assez prévisible.
DeBrincat avait récolté 104 points à sa saison recrue dans la OHL, alors qu’il jouait en compagnie de Connor McDavid. Il a cependant réitéré cet exploit deux fois plutôt qu’une, amassant 101 points en 60 joutes en 2015-2016, et 127 points en 63 parties en 2016-2017.
Cette année, le jeune a une fois de plus commencé en fanfare. Il a déjà onze points à sa fiche en seulement 7 joutes, ce qui lui permet de détenir le premier rang chez les pointeurs du côté de Chicago, à égalité avec Patrick Kane.
Alex DeBrincat scored to extend his season-opening point streak to seven games (7-4—11).@Brinksy97 became the 10th player in @NHLBlackhawks history to score 7 or more goals in the team's opening seven games. At age 20, he is the youngest to do so. #NHLStats #CHIvsCBJ pic.twitter.com/TobSAzfjKn
— NHL Public Relations (@PR_NHL) October 21, 2018
C’est simple : il a récolté au moins un point dans les sept matchs qu’il a joués depuis le début du calendrier régulier.
Dans tous les cas, la guigne de la deuxième année, qui sème la terreur telle la peste – n’atteint pas Alex DeBrincat, qui semble être immunisé contre ce mauvais sort.