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Maman Kotkaniemi devrait débarquer à temps à Montréal

Arpon Basu vient de m’enlever les mots de la bouche : Shea Weber, ça va au-delà du respect. Pour toutes les raisons qui circulent à son sujet. Pour ceux qui voyaient uniquement Brendan Gallagher avec un « C » sur son maillot, soyez patients quelques années, il sera le prochain à prendre le flambeau, et c’est parfait ainsi. Le discours que tient Weber est digne d’un grand mentor, d’un individu axé sur le côté paternel.

Que vous jouiez deux ou 25 minutes, vous ferez une différence à un moment de la saison ou des séries éliminatoires. Je veux juste m’assurer que tout le monde sait que c’est précieux et que nous ne cherchons pas à savoir combien quelqu’un gagne ni combien de temps il a passé sur la glace, tout le monde est tout aussi important pour l’équipe. – Weber

Pouvons-nous dire que Shea Weber a des similitudes avec Bob Gainey, par sa prestance et son comportement? Presque.

Ceci étant dit, ce leadership-là aidera certes Jesperi Kotkaniemi à mieux se sentir dans un environnement de la Ligue nationale. En plus de ça, le Finlandais pourrait pieuter chez Antti Niemi incessamment (si plus de neuf rencontres?). Mais en plus de ces deux facettes non négligeables, sa mère devrait débarquer en Amérique du Nord à temps pour le match du 11 octobre. Elle devrait rester quelques semaines… Couchera-t-elle chez le cerbère auxiliaire du Canadien ou à l’hôtel, héhé? La famille « Kotkaniemi » sera fort probablement à l’hôtel avec fiston… et si jamais le séjour du jeune se poursuit, il sera intéressant de voir s’il restera seul ou s’il se dirigera chez Niemi.

Entourer la jeunesse, c’est d’une importance capitale. On l’a vu avec Brendan Gallagher, qui a eu Josh Gorges comme grand frère… ou Alex Galchenyuk, qui pouvait compter sur toute sa famille. Quoique l’exemple de Chucky est un tantinet nébuleux puisque les Glachenyuk sont, disons, très particuliers. Surtout le « papa » qui se mêle du « coaching », en enseignant d’une façon différente. Mais bon, ça demeure une famille « d’exception ».

Bref, le rôle de grand frère est primordial, encore plus à Montréal… ou à Vegas.

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