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Le nom de Ryan O’Reilly recommence à être attaché au Canadien

Si au début de la saison, le nom de Ryan O’Reilly ne faisait pas vraiment pas de sens, lorsqu’associé au Tricolore, tout pourrait changer cet été.

Les Sabres n’avaient aucune raison de vouloir échanger leur centre #2, à part si c’était pour combler d’autres besoins, toutefois considérés comme «pas tant urgents».

Par contre, suite aux récents commentaires de l’attaquant canadien, qui a perdu son amour pour le hockey à Buffalo, Jason Botterill pourrait être tenté d’offrir une nouvelle maison au #90.

Adopter une culture de perdant, ce n’est pas bon…

Marc Bergevin a affirmé aujourd’hui qu’il avait le nez dans tous les dossiers de joueurs de centre, sur le marché des échanges. On peut donc en conclure que si O’Reilly vient à être disponible, le directeur général du Canadien passera un appel aux Sabres.

Ray Ferraro croit que c’est définivitement ce qui doit être fait.

Mon collègue Éric Martel m’avait d’ailleurs proposé un scénario similaire, avant la fin de la dernière saison. Il m’avait mentionné qu’il voyait bien une transaction être conclue entre les deux équipes, advenant que le Canadien ne remporte pas la loterie. Une prédiction intéressante.

J’étais sceptique, et je le suis encore, mais un peu moins. Disons que l’éventualité n’est pas impossible.

Pas le meilleur move à long-terme, pour le Canadien, mais je crois qu’il est clair que ce n’est pas la priorité. 

Un autre point d’interrogation important est l’intérêt d’O’Reilly envers Montréal. Pour un gars qui est tanné des médias et de la culture de perdant, est-ce qu’être échangé au Canadien serait réellement bénéfique?

Est-ce le genre d’«attitude» que Bergevin veuille amener dans le vestiaire?

Il faudrait vraiment y aller le tout pour le tout afin qu’une équipe solide soit en place… Sans quoi on ne sera pas plus avancé.

L’ancien de l’Avalanche a inscrit 61 points, cette saison, son deuxième plus haut total de points en carrière. Il a fêté ses 27 ans en février.

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