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Le Canadien n’est plus dans le coup pour Ryan O’Reilly

Le Canadien n’a pas encore réalisé de coup fumant sur le marché de l’autonomie… Certains s’acharneront sur Marc Bergevin, mais il ne faut pas négliger deux données primordiales : John Tavares et Paul Stastny ne voulaient pas évoluer au sein d’une équipe peu attirante comme le Canadien de Montréal. Tavares n’a pas voulu les rencontrer et lors de la transaction impliquant Steve Mason, Bergevin s’est fait dire par le clan Stastny que Montréal était très loin sur sa liste. Après ça, il reste qui comme joueur d’impact? Pas grand-chose.

Allons plus loin. Parlons avec des « si ». Si monsieur Bergevin avait octroyé un accord de 5 ans et 30 millions à Tyler Bozak, tout le Québec aurait hurlé que cette signature était atroce. Bref, aussi bien conserver le groupe actuel en greffant des pièces sans réel risque à bas prix (Ouellet, Grenier ou Chaput). Il reste qui comme centre « accessible » pour combler cette faible position chez le Canadien? Ryan O’Reilly! Excellente réponse à brûle-pourpoint, mais dites-vous que ce dossier semble pas mal coulé dans le bâton lui aussi : Pas de MONTRÉAL…

Le Canadien n’est plus dans la course, mais pourquoi? Ça coûtait fort probablement trop cher et le manitou des Sabres n’avait pas envie de mettre de l’eau dans son vin « flat ». Une autre déception à mettre sur notre calendrier… mais dites-vous une chose, lorsque Marc Bergevin n’obtient pas un joueur, le risque d’erreurs est moins grand. Jusqu’à présent, il fait peut-être les bons petits gestes… La seule chose que certains adeptes demandent, c’est de la transparence. Le Tricolore veut l’être, donc qu’il le gueule haut et fort qu’il est en reconstruction.

Bref, le Canadien n’a pas de club, mais si on refait la fondation, on avalera peut-être un peu mieux la pilule.

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