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L’avenir de Byron est assuré avec le CH… à court terme

Après avoir conservé, pendant quelques saisons, une grande marge de manoeuvre sur sa masse salariale, Marc Bergevin a appuyé sur l’accélérateur dans les dernières semaines pour renforcer son équipe à toutes les positions.

Résultat, le CH a maintenant moins de 400 000 $ sous le plafond pour manoeuvrer, pour l’instant. Mais personne ne va s’en plaindre, même si idéalement, le grand manitou du Tricolore aimerait commencer la saison avec deux millions $ de marge de manœuvre.

À cet effet, plusieurs se sont demandés si une autre transaction serait imminente pour atteindre cet objectif d’ici au lancement de la saison. Parmi les noms mentionnés, celui de Paul Byron est revenu, lui qui semble destiné à commencer la saison sur le quatrième trio, malgré son cap hit de 3.4 millions $.

Eric Engels s’est penché sur le sujet cette semaine, à la suite d’une question d’un lecteur.

Le chroniqueur statue qu’à court terme, Byron va demeurer dans l’entourage du CH, puisqu’il va apporter plus à l’équipe en étant dans l’alignement que ce qu’il rapporterait via une transaction.

En effet, le marché pour des joueurs comme le #41 n’est pas le plus alléchant actuellement dans la LNH.

J’ajouterais aussi qu’en cas de blessure parmi les ailiers du Tricolore, Byron va encore démontrer toute utilité, lui qui est habitué d’élever son jeu d’un cran pour remplacer des coéquipiers, lorsque la situation le commande.

Jordan Weal est le candidat le plus probable pour une démotion et soulager un peu la masse salariale du CH.

Si Byron semble pratiquement assuré de demeurer un membre du Bleu-Blanc-Rouge pour la saison 2020-2021, Engels avance toutefois que ça pourrait changer durant la saison morte. Il voit très bien Marc Bergevin offrir l’attaquant à Ron Francis, avec un choix au repêchage, pour protéger un joueur (comme Cale Fleury) dans son alignement en vue de l’expansion.

Francis mettrait alors la main sur un vétéran qui a un ascendant positif sur ses coéquipiers, autant dans le vestiaire que sur la patinoire. C’est un scénario très plausible à conserver en tête, au cours des prochains mois!

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