betgrw

Jouer même le lendemain d’une « brosse » : Un critère selon cet attaquant des Golden Knights

Nous sommes le 15 août. C’est aujourd’hui que les joueurs évoluant dans la NCAA qui ont obtenu leur diplôme universitaire le printemps dernier et qui n’ont toujours pas signé de contrat avec leur équipe de la LNH toucheront leur autonomie complète. Qui seront les Jimmy Vesey, Alex Kerfoot et Will Butcher de 2018? Le chroniqueur Zach Leach s’est amusé à dresser la liste de ces joueurs ICI.

À première vue, le Canadien ne perdra aucun espoir aujourd’hui…

Ryan Reaves et ses hung overs
Le collègue Vince Cauchon a publié un tweet intéressant hier après-midi. Le voici :

Ryan Reaves, échangé aux Golden Knights (en retour de Tobias Lindberg) à la date limite des transactions, croit que tous les joueurs de la LNH devraient être capables de jouer sur un lendemain de brosse. Si tu ne le peux pas, tu n’as probablement pas ta place dans la LNH (selon Reaves, avant que l’on ne m’attribue ses propos).

Drôle de commentaire venant d’un athlète/goon qui selon plusieurs observateurs n’a plus sa place dans cette ligue, hung over ou non…

Ceci dit, Reaves célébrera son 32e anniversaire de naissance en janvier prochain. Il a signé le 30 juin dernier un contrat de deux ans avec les Golden Knights… Contrat évalué à 2,775 millions $ par saison.

Pourtant, Reaves n’a obtenu que deux mentions d’aide en 21 matchs réguliers avec les Knights la saison dernière.

Mais bon… Il est capable de jouer sur un lendemain de brosse. Même dans la trentaine! Ça doit se payer, j’imagine…

À bien y penser, plusieurs joueurs et anciens joueurs du Canadien ont touché de gros sous tout en étant capable de jouer malgré une courte nuit arrosée.

Mais Alex Ovechkin Max Pacioretty possède une hygiène de vie irréprochable, lui. Peut-être devrait-il se lâcher lousse un peu pour remplir ce critère Ryan Reaves, hehe? Ai-je besoin de vous dire que je blague?

Chose certaine, si un joueur du CH avait avoué ce que Ryan Reaves a avoué, ça aurait fait un tollé en ville. Surtout en août, mois au cours duquel à peu près n’importe quoi soulève les passions.

PLUS DE NOUVELLES