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Jon Merrill compare les mains de Cole Caufield à celles de Patrick Kane

Cole Caufield est rapidement devenu un des préférés du côté des partisans chez le Canadien de Montréal. Après tout, il a été difficile de ne pas tomber en amour avec le sourire qu’on a vu sur son visage après son tout premier filet inscrit dans la grande ligue.

Le principal intéressé aura l’occasion de disputer son tout premier match de séries éliminatoires en carrière ce soir, alors qu’il prendra la place de Tomas Tatar Eric Staal. Vous en comprendrez donc que c’était le sujet de l’heure lors de la période de questions des journalistes, plus tôt ce matin.

Jon Merrill a été l’un de ceux qui se sont fait interroger à propos de la présence de Caufield dans l’alignement face aux Leafs. Le défenseur a confié aux médias que l’équipe était excitée de voir le kid être inséré dans l’alignement ce soir et estime même que tous les joueurs sont confiants au fait que l’espoir aura un impact direct sur la game.

On peut donc comprendre que Merrill aime bien ce qu’il voit de Caufield, et par ses propos, il semble que tous les autres joueurs sont d’accord avec lui.

Mais, le défenseur a décidé de pousser la note encore plus loin. Comment? En comparant les mains du jeune à nul autre que celles de Patrick Kane. La vitesse avec laquelle les pieds de Caufield se déplacent lui fait aussi penser au joueur des Blackhawks de Chicago.

Je l’aime Caufield. D’amour, même. Mais, de là à le comparer à un gars qui a (déjà) plus de 1000 points dans le show et qui a aidé son équipe à remporter la Coupe Stanley à trois reprises, c’est un peu poussé.

On s’entend pour dire que les habiletés des deux joueurs en question se ressemblent un peu : deux (petits) joueurs américains à caractère très offensifs, qui ont une facilité hors-norme à s’inscrire sur la feuille de pointage, par un but marqué ou en réalisant une savante passe.

La différence, toutefois, c’est que Kane le fait depuis plus de quinze ans dans la meilleure ligue de hockey sur la planète. Donnons un peu de temps à Cole avant de se lancer dans ce jeu souvent maladroit qu’est celui des comparaisons.

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