Jacob de la Rose… Un nom qui me donne des boutons. La carrière de ce gars-là tourne en rond et je filtre mon langage. Même si son chum Filip Forsberg l’a qualifié de travailleur acharné, de gars physique, en ajoutant même que JDLR lui donnait beaucoup d’espace sur la glace lorsqu’ils ont joué ensemble, ça ne lui donne pas plus de valeur.
Je demeure subjugué. Est-ce vraiment de Jacob de la Rose, un choix de deuxième tour du Canadien en 2013, dont il parle? Mes oreilles bourdonnent et mes yeux chauffent lorsque je lis cela. Je n’ai pas envie de dénigrer DLR, mais comment puis-je encenser un gars qui tourne constamment en rond? Un gars qui est incapable de se trouver un rôle au sein du Canadien de Montréal!
Dans un audio, Pierre LeBrun a d’ailleurs mentionné que De la Rose était frustrant. Qu’il était tellement passif pour un joueur de son gabarit, dont la carrière tourne en rond. Comment un directeur général de la Ligue nationale pourrait-il s’intéresser à lui? Quoique si Forsberg est un excellent vendeur, il pourrait « vendre » son compatriote à David Poile, hehehe.
En gros, De la Rose, c’est un but seulement en 33 rencontres. C’est aussi un mince total de quatre points. Mais par-dessus tout, c’est un gars nullement physique qui semble se foutre royalement de porter l’uniforme du Canadien. Ça, c’est la vision que j’ai de lui et sa valeur doit tellement être dérisoire…
Lors de son entretien, le sujet principal de Pierre LeBrun n’était pas Jacob de la Rose, mais bien Tomas Plekanec et Andrew Shaw. Le but ultime du Marc Bergevin semble réellement de conserver les services du numéro 14 et du numéro 65. Bâtard. Le Canadien est dans la cave. C’est le moment pour lui de remodeler son équipe POUR VRAI… et il ne le fait pas encore.
Les fans continueront de cheerer pour d’autres équipes, Geoff. Fais quelque chose!