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Éric Gélinas et son clan ne perdent pas de temps : on regarde vers l’Europe

Le 1er octobre dernier, Éric Gélinas a paraphé un accord d’un an avec le Rocket de Laval. Un pacte ne pouvant pas lui permettre d’être rappelé chez les grands à moins de signer un contrat LNH. Au préalable, le Canadien l’a invité à participer au camp d’entraînement de l’équipe, où il a pris part à trois joutes préparatoires… mais ce ne fut pas suffisant pour s’entendre pour un contrat LNH. Âgé de 26 ans à ce moment-là, le natif de Vanier (Ontario) était en confiance. Il était persuadé de pouvoir tracer son chemin vers la LNH, où il a déjà connu un brin de succès lors de son arrivée.

Chez le Rocket, le colosse défenseur a conclu sa campagne avec un total de 26 points en 64 parties, ce qui est très honnête. Il a été l’un des meilleurs défenseurs du club-école, mais il n’a jamais reçu d’offre de contrat du Canadien afin d’évoluer en haut. Il s’est assuré de donner le meilleur de lui-même pendant ce long séjour dans le circuit mineur de la Ligue américaine. À noter également : à cause des contraintes du nombre de « vétérans » dans un alignement, il a dû passer son tour à quelques reprises.

Un séjour qui aurait pu lui valoir quelque chose au bout du compte, mais on dirait bien que ce ne sera pas le cas puisqu’il zieute déjà du côté de l’Europe.

Et, évidemment, on retrouve la KHL parmi les options.

Au final, j’imagine que les options sont minces au niveau de la Ligue nationale, donc son agent prépare déjà les options B ou C pour que son client ne soit pas sans boulot l’automne prochain. On semble plutôt réaliste : se tailler une place dans la LNH semble quasi impossible. Souhaitons-lui la meilleure des chances.

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