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DansLeGrenier – Subtilités, Parker et Prust!

Bon vendredi!

Le soleil est discret, la neige fond, et il pleut… surtout dans le compte de banque de Lundqvist!


Les Canadiens n’arrêtent pas de gagner, c’est même eux qui blessent les Bruins au lieu de l’inverse!


Le trio de Plekanec score plus qu’un membre d’Occupation Double au Fuzzy.


Desharnais et Pacioretty nous demandent «quel début de saison poche? hein?»

Tout le monde appelle les lignes ouvertes pour dire qu’eux, ils n’avaient jamais douté et qu’ils savaient que l’équipe allait être première de conférence.

«J’ai toujours aimé Carey Price moi monsieur!»


Oui oui, me semble!

Maintenant, voici mes observations de la semaine :


1) Les entraîneurs subtils

Avez-vous vu les entraîneurs qui se compromettent de façon «subtile» cette saison dans le sport professionnel?

Premièrement: Jason Kidd, entraîneur des Nets de Brooklyn dans la NBA.

À court de temps mort en fin de partie, il a pris un verre de liqueur, a commencé à marcher vers un de ses joueurs qui revenait au banc et lui a clairement dit «hit me!»

Hit me?


Provocation? Sado masochisme? Chanter du Britney Spears?

Non, un faux éclair de génie.

Le joueur est donc entré en contact avec Kidd et «OUPS!!! Bien maudine! J’ai échappé mon verre sur le court! Vraiment désolé! Prenons quelques minutes pour essuyer ce dégât pendant que mes joueurs reprennent leur souffle.»

Kidd qui joue l’innocent, son joueur qui joue le jeu avec du acting digne d’un théâtre d’été amateur à Kuujaaq.

Voici le vidéo :

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Ensuite, Mike Tomlin des Steelers de Pittsburgh qui se ramasse sur le terrain pour empêcher un retour de botté d’être retourné pour un touché.

C’est subtil, mais sa présence sur le côté a dévié la trajectoire de course de Jacoby Jones qui a été plaqué au lieu de faire le terrain le long de la ligne de côté.

«Je regardais le botté sur l’écran géant pour avoir une meilleure vue d’ensemble. Je ne savais pas j’étais où sur le terrain.»

Vraiment, Mike?


T’as beau ressembler comme deux gouttes d’eau à Omar Epps, le célèbre Docteur Foreman dans l’émission House, mais tu n’as pas son talent d’acteur.

Voici le vidéo. Qu’est-ce qu’il regardait, selon vous? (Veuillez négliger la voix de robot un peu bizarre)

{youtube}pacv10Ptx7c{/youtube}

J’aimerais voir l’équivalent au hockey. Pas que je veux voir un comportement comme ça, mais je suis curieux de voir qu’est-ce qu’un entraîneur de hockey pourrait faire de similaire.

Car ils sont loin du jeu, derrière des joueurs, un banc, et dans un endroit restreint.

Lancer des gourdes et des bâtons de hockey, ce n’est pas subtil non plus. Que pourrait faire un entraîneur à bout de ressources comme eux?

Un strip-tease? Un flash mob avec ses entraîneurs adjoints?


Trébucher et tomber sur la glace? Feindre un évanouissement? Se battre avec Youppi?

Des suggestions?

 

2) Oups!

Parlant d’erreur, j’ai soulevé la question dans le dernier mois sur le rapport entre Diaz et Markov. Est-ce que la coche est si grande que ça entre les deux?

Je trouvais que non. Vous m’avez agressivement dit que oui.

Finalement… J’étais dans le tort!

Markov a élevé son jeu solidement cette saison pendant que Diaz est «shaky». Pardonnez l’anglicisme, mais c’est le mot parfait pour décrire Diaz.

Ma théorie : Je pense que Markov lit la chronique DansLeGrenier et qu’il voulait me prouver que j’étais dans le champ.

Donc… Je trouve que Markov n’aurait jamais le guts de signer à Montréal pour 2 millions par saison pour 3 ans. T’es pas game Markov! T’es pas game!

Ça vaut la peine d’essayer, non?

 

3) Scott Parker accuse Bob Hartley

L’ancien dur à cuire Scott Parker accuse Bob Hartley d’avoir été un bully.

«Il me disait que si je ne faisais pas ma job, il m’enverrait dans les mineures!»


Euh…


C’est pas normal ça?

«Il me disait que j’irais à Hershey et que ça allait sentir le chocolat.»


C’est quasiment le fun ça!
T’aides pas ta cause, Scott. Ça fait bébé.

«Ma mère m’a dit de ranger ma chambre sinon pas de sortie… Et après elle m’a dit que ça allait sentir le lilas!»

L’odeur est une chose positive! Si t’es pour chialer, dis pas cette partie là! Même moi j’ai le goût d’aller à Hersey maintenant.

On dirait un joueur en manque d’attention. Il prend un sujet courant, l’intimidation, et essaie de jouer à la victime.

C’est la seule raison qui explique cette sortie. Sinon, comment expliquer le timing de sa déclaration? Pourquoi maintenant?

Je ne connais pas personnellement Bob Hartley ni sa façon de faire. Mais on dirait plus de la motivation que de l’intimidation.

Et en plus, Scott, il t’a fait gagner une Coupe Stanley en 2000-2001. Peut-être qu’il savait ce qu’il faisait?

S’attaquer à l’entraîneur qui t’a fait gagner une Coupe Stanley… Vraiment?


Il aurait pu me fouetter avec une serviette mouillée dans la douche, me lancer du goudron et des plumes après et me faire courir comme ça sur la rue Ste-Catherine et jamais je n’aurais chialer si c’était pour me faire gagner une Coupe.

Encore moins si on me menaçait d’odeur de chocolat.

 

Photo: milehighhockey.com


4) Brandon Prust et l’uppercut!

Dans un combat contre Cam Janssen, Prust a fait un uppercut!


Ça surprend!


Il a sûrement trop joué à NHL 2014!

Quand je l’ai vu faire son uppercut… Suis-je le seul qui s’attendait à voir un combo?


«En haut, en bas, en haut, en bas, A-B-A-B!»


Je suis habitué de voir ce genre de coup dans Mortal Kombat, pas dans la LNH!

«Brandon Prust wins! Finish him!» Oups, trop tard, c’est déjà fait, tu joues pour les Devils. C’est pire que n’importe quelle fin dans le jeu.

Je pense même que j’ai vu Johnny Cage dans les estrades applaudir Prust en disant «Good job!» et en remettant ses lunettes fumées en croisant les bras.

 

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