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Carey Price a besoin d’un Jaroslav Halak

On le sait, depuis que José Théodore a été embauché par TVA Sports, il aime bien faire caca sur le Canadien. Ça, c’est normal. Les médias encensent et critiquent, c’est selon. Par contre, lorsqu’il est question de Carey Price, ça semble fréquent.

Là-dessus, je ne peux pas l’obstiner : « La pire chose à voir au hockey, c’est une équipe qui accepte la défaite. C’est triste à dire, mais les Canadiens en sont rendus là et ça me fait mal au cœur. »

Pour l’ancien portier du Canadien, ça prend plus qu’un grand ménage. Ça prend un coup de théâtre. Un tour de magie. Un changement de mentalité. Théo a vu le même positif que nous tous, ou presque. Nicolas Deslauriers. Brendan Gallagher et Victor Mete sont les aspects positifs de Théodore. On peut ajouter les noms de Paul Byron et Phillip Danault (même s’il a été blessé) dans l’équation.

Ça doit faire boom à Montréal. Tout doit changer. Théodore remet même en doute le travail de Stéphane Waite, qui a été incapable de ramener le 31 sur les rails cette année. D’ailleurs, le dossier Vegas a refait surface : pourquoi n’était-ce pas Price devant la cage? L’ancien numéro 60 souhaite que ce ne soit pas Price qui a demandé ce congé…  Price semble s’en foutre royalement, c’est vrai! Il semble avoir abandonné. Et ça, ça dérange.

Price est-il trop certain de son poste? Avec le pacte qu’il a paraphé, ça demeure une possibilité. Ce n’est pas Al Montoya ou Antti Niemi qui sont des « voleurs » de poste. Ça prendrait un gars comme Halak, qui le pousse à se défoncer. J’adore ce point soulevé par José Théodore. Un peu comme Marc Bergevin, Carey Price a une passe gratuite avec le Canadien… Vrai, encore!

Une chronique qui frappe, mais qui a beaucoup de sens.

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