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Bergevin a tout un « as » dans son jeu… et ce n’est pas un joueur

Le meilleur atout pour Marc Bergevin n’est pas un joueur…

Même si Alex Galchenyuk et Max Pacioretty figurent au sommet des joueurs pouvant quitter Montréal, ce n’est pas ça le plus important… ni le retour que pourrait obtenir le Canadien. La « force » ou l’as que Bergevin a dans son jeu de cartes demeure le montant qu’il lui reste sur sa masse salariale. Un parle de tout près de 7 millions de disponible pour accueillir un gros contrat. Et pas un gros pacte pouvant aider le Canadien, mais un gros contrat pouvant aider une formation adverse.

De plus, le Canadien n’a que 44 joueurs sous contrat pour une possibilité de 50. Ce qui pourrait permettre à Marc Bergevin de bouger des pièces et profiter du besoin de ses homologues. Le besoin de sortir un gros salaire « infect » afin d’ajouter un accord comme celui de Max Pacioretty, par exemple. C’est là que Berg doit profiter de la situation : « OK. Je peux prendre Paul Martin, mais tu dois m’inclure Timo Meier et un choix de première ronde. »

Ce n’est qu’un exemple, mais vous comprenez l’exercice.

On a critiqué tout l’espace que Bergevin a laissé en n’octroyant pas de prolongation à Alexander Radulov et/ou Andrei Markov, mais aujourd’hui, s’il est en mesure de capitaliser sur cette erreur… peut-être qu’on lui pardonnera un brin.

Outre les Sharks et Paul Martin, il y a également le Wild (Tyler Ennis), les Blue Jackets (Jack Johnson) ou les Blues (Jay Bouwmeester) qui pourraient se départir d’un mauvais contrat en mettant un espoir de premier niveau dans un deal. Les Blues de Saint-Louis ont un certain Robert Thomas… et les Blue Jackets, Pierre-Luc Dubois, que le Canadien adore. D’ailleurs, la direction semble l’épier depuis quelque temps. Mais ça risque de coûter pas mal plus cher que « juste prendre un mauvais contrat ».

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