Barry Trotz a annoncé qu’il quittait l’organisation des Capitals, après y avoir remporté une Coupe Stanley en tant qu’entraineur-chef. Il sera donc en mesure de proposer ses services à l’équipe de son choix.
Barry Trotz informed the organization today of his decision to resign as head coach of the Capitals https://t.co/La90ckersS via @NHL
— L.A. Lariviere (@L_A_theRiver) June 18, 2018
Trotz avait une clause dans son contrat selon laquelle il obtiendrait une prolongation de contrat de deux ans avec les Capitals s’il parvenait à remporter la Coupe Stanley. Puisque sa valeur a explosé suite à son triomphe face aux Knights de Vegas, il a convenu avec ses patrons de retourner à la table des négociations pour trouver un nouveau terrain d’entente.
Barry Trotz had a clause in his contract where if he won the Stanley Cup he could accept a two-year extension with a $300k bump in salary. Obviously since he was only making $1.5M, low by today's NHL coach's standards, a $1.8-million salary doesn't cut it. So Trotz stepped down.
— Pierre LeBrun (@PierreVLeBrun) June 18, 2018
Finalement, les deux partis ne sont pas parvenus à trouver une entente qui leur convenait. Barry Trotz est donc libre comme l’air…
Les Capitals ne lui offraient que 1,8 million de dollars par année. À titre comparatif, Claude Julien empoche 5 millions annuellement tandis que Mike Babcock en fait 6,25. Barry Trotz ne pouvait accepter une offre aussi insultante…
Les Islanders semblent les favoris pour l’accueillir. Il s’agit de la seule équipe à ne pas avoir nommé son entraineur-chef. Lou Lamoriello souhaitera frapper un coup de circuit pour convaincre John Tavares de demeurer à New York. L’embauche d’un gagnant de la Coupe Stanley pourrait suffire.
Le nouvel entraineur-chef des Capitals devra composer avec une troupe de joueurs flottant encore sur leur petit nuage, après avoir remporté la Coupe Stanley. Discipliner cette formation qui viendra de vivre un été de célébrations ne sera certainement pas une mince tâche…
Il pourrait être difficile de ramener Alex Ovechkin au boulot, lui qui ne semble pas prêt à arrêter de célébrer.