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Alex Galchenyuk et les Coyotes ont manqué de classe envers la presse montréalaise

Quand le Canadien dispute un match dans une ville éloignée (de Montréal) – et que de surcroît, où l’un de ses anciens joueurs vedettes y évolue – les médias y envoient souvent quelques journalistes quelques jours avant afin d’y concocter un reportage plus humain.

Afin d’aller y chercher une histoire… Une nouvelle.

Hier soir, Jonathan Bernier (Journal de Montréal), François Gagnon (RDS), Chantal Machabée (RDS), J-F Tremblay (La Presse), Alexandre Gascon (Radio-Canada) et Eric Engels (Sportsnet) étaient (déjà) à Glendale pour y rencontrer Alex Galchenyuk.

Les six journalistes se sont tapés le piètre match Islanders vs Coyotes avec l’espoir de pouvoir jaser avec Alex Galchenyuk. Malheureusement pour eux, l’ancien attaquant du Canadien a refusé de les rencontrer.

Certains n’étaient à Glendale que pour jaser avec Galchenyuk. That’s it.

D’autres y avaient devancé leur assignation dans l’espoir d’obtenir de bons quotes de la part de Galchneyuk.

Le problème, c’est que Galchenyuk avait au préalable accepté de parler avec les journalistes montréalais. Il avait donné sa parole. Alexandre Gascon et Jonathan Bernier n’ont d’ailleurs pas hésité à souligner le manque de classe de Galchenyuk… Et des Coyotes.

Tu as beau être en ta* après toi pour ton match difficile… Ou encore, en vouloir aux journalistes de ton ancienne ville… Il me semble que tu dois agir avec un minimum de respect (professionnel et personnel). Peu importe que vous aimiez ou non le métier de journaliste, vous devez respecter ce principe.

Rencontrer les journalistes fait partie de la job d’un athlète professionnel. Il est payé pour ça, notamment.

Ça me rappelle un certain Alexander Radulov qui a fait faux bond aux journalistes montréalais… Mais au moins, c’était à Montréal. Pas à 4162 km de la maison!

Revenons à Galchenyuk.

Il a connu un autre match difficile hier soir.

Depuis le début de la saison, il n’a que trois buts, 11 points et affiche un différentiel de moins-7. Tout ça en 23 rencontres…

Et pour ceux qui se le demandent. Oui, Galchenyuk est toujours sous l’emprise de sa famille. Toute la famille a déménagé en Arizona lorsqu’il y a été échangé.

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